La boîte aux criquets
Eh bien voilà...
Et hop, un second roman trerminé!
Un vrai ce coup-ci! Non, pas un roman à billet!
Bref, en voici le préambule :
Que ce roman soit, pour chaque lecteur, un Théorème au pays du lait et du miel*.
Qu’il ne soit ni doux ni excitant, et ne comble pas ses attentes, lui qui attend Godot sur un tarmac vide du désert des Tartares.
J’espère offrir au monde un Bad taste vu par Zola. Les oiseaux sont mazoutés, les journalistes dirigés, ce n’est plus d’un éloge aux arlequins dont il a besoin mais bien de la fuite.
Je dois faire un aveu : il n’y a pas de fumée sans feu ! Désormais les bonzes ont parvenus à obtenir des aides à s’immolation.
Le fantôme de la liberté hante les vieilles demeures de nos villes muséifiées. D’être de chair, l’homme s’est mué en pièce usinée.
Son mutisme délicat porté aux nues, les mots qu’il clame, toujours blessent ; mais c’est bien son silence qui, encore, tue.
C’est ici au degré zéro de l’écriture que je vous convie, pour observer la lune dans le caniveau d’une ville sans carte, et non le charme discret de la bourgeoisie que nous trouverons toujours en quatrième de couverture, nous narrant de nouvelles infortunes de la vertu.
Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.
*Nom donné à la France par la mafia géorgienne en référence à la légèreté des peines encourues en cas d’arrestation, par rapport aux autres pays européens.